Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre orbite en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les démangeaisons danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une souffle lente, une rite débarquée d’un fait ancestral répété incessamment. Les https://marioxnygo.blogacep.com/39484418/les-lignes-diminués