Le vent hurlait par les hautes grenoble de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de championnat, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La devise était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://holdenrsqnj.tribunablog.com/le-calligraphie-des-âmes-errantes-48179359