Le manoir se dressait, condamnant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les itinéraires envahies par les ronces, une structure de cristal et de métal résistait encore au périodes : une serre oubliée, secrète derrière un mur de végétation sauvage. https://landenzavmc.blogripley.com/34457175/le-jardin-des-obscurités-statiques